COMMENT DEVIENS T-ON SOUMIS ?

Je vais te raconter la fois où j’ai contrôlé la queue d’un soumis. Et quand je dis “contrôler la queue”, je ne parle pas de chasteté. Je m’étais donné comme objectif d’hypnotiser et conditionner un sujet (ou plutôt un amant de passage devenu victime hypnotique puis soumis sans le réaliser) à devenir dur lorsque je le voulais.

Mon idée (démoniaque) était ainsi de le conditionner à devenir dur sur commande. Et il s’avère que cette histoire est très récente. Mon activité me permettant de voyager, c’est dans un pays étranger que j’ai rencontré l’homme dont la queue avait fini par réagir à ma volonté. Je m’étais donc le temps de mon séjour pour convertir un homme se croyant naïvement alpha, contrôler sa queue et le libérer de mon contrôle hypnotique avant que je ne parte pour de nouvelles aventures. J”adore les challenges donc hypnotiser un homme sans inclinaison assumée pour la soumission est extrêmement excitant pour moi. Tout s’est ainsi fait très progressivement parce qu’un conditionnement profond (et malheureusement pour lui je crois, irréversible) prend du temps. Je devais l’accoutumer au fait de se dissocier de sa queue sans utiliser d’hypnose, juste un peu de manipulation sexuelle pour commencer.

D’abord, ce n’était que des sms, des demandes étranges et perverses comme celle de m’envoyer une photo de sa queue lorsqu’il était en train de travailler lorsque l’envie me passait par la tête. De simples demandes dénuées de toute autorité flagrante. Puis c’est devenu une tâche à réaliser tous les matins à une heure précise qu’il effectuait pour pouvoir être récompensé par une faveur (me lécher). Au fur et à mesure, sa queue a été renommée très innocemment pour le taquiner. « La chose » est devenue « ma chose » pour qu’il intègre que sa queue ne fait pas partie de lui même. Ce changement de pronom n’éveilla aucune suspicion chez mon amant de vacances/victime hypnotique qui ne se doutait toujours pas qu’il empruntait dangereusement le chemin de la soumission. Un soir, je lui ai parlé d’hypnose et avoué que je voulais essayer quelque chose avec lui : jouer avec son esprit et avec “ma chose” en même temps en plaisantant. Difficile de feindre son enthousiasme face à une proposition comme celle-ci. Il voulait se prêter au jeu même si je savais qu’il me trouvait un peu folle et fantasmes étranges. Les choses sérieuses commençaient enfin

Comment “ma chose” allait-elle devenir un morceau de chair contrôlé par ma voix et ma volonté ? En renforçant cette dissociation corporelle, je pourrais lui faire sentir que sa queue m’appartient. Je lui ai ensuite ordonné de se déshabiller, de s’allonger sur mon lit, d’écarter les jambes comme je peux en donner l’instruction à mes sujets hypnotik. Et durant tout le long du processus d’induction, je n’ai parlé qu’à deux seules choses : son esprit (plus particulièrement son inconscient) et sa queue en m’approchant très près de celle-ci sans la toucher d’abord. Je lui ai ainsi répété plusieurs fois qu’elle était ma chose en lui demandant d’acquiescer. Ensuite, je lui dis qu’elle m’appartenait en lui donnant l’ordre de la regarder pendant que je jouais. Je lui ai demandé si ce qu’il entendait l’excitait, ce à quoi il a dit « ouuuuuuuui » en gémissant avec une voix incroyablement rauque. Ensuite, il devait fermer les yeux et se concentrer sur les sensations au niveau de sa queue en ressentant comme sa queue (“ma chose”, donc) était détachée de son propre corps, qu’elle pouvait devenir encore plus dure et raide sans que son esprit contrôle quoi que ce soit.

Je lui ai dis d’ouvrir les yeux en regardant comme “ma chose” devenait plus dure à chaque qu’il fermait les yeux avant de claquer les doigts et de lui donner l’ordre de les fermer à nouveau en plongeant encore et encore jusqu’à qu’il soit complètement fractionné. A ce stade, ces yeux roulaient vers le haut, son corps tremblait, sa respiration s’accélérait à chaque fois que je disais “ma chose” ce qui m’a donné une idée de suggestion post hypnotique et de déclencheur. Je lui ai fais remarqué qu’il était très excité quand je disais “ma chose” et que cette excitation risquait de fortement de persister voire de s’intensifier quand j’appelais cette queue par son nouveau nom. Et que ce serait la même chose quand il voyait écrit “ma chose” par sms. Après avoir claqué des doigts de nombreuses fois et l’avoir fait entré et sortir de transe à de nombreuses reprises, je lui dis de respirer profondément et de se concentrer sur le son de ma voix. Alors qu’il avait les yeux fermés; je lui ai fais remarqué que “ma chose” était encore plus excité que lui en me voyant, que “ma chose” pouvait bander en me voyant dans une de mes robes super sexy, qu’il suffisait que “ma chose” me voie pour qu’elle devienne aussi dure qu’une tige d’acier dans les secondes qui suivent. Je lui ai ordonné de ressentir à quel point ma chose était dure. Puis, je lui ai dis que j’étais satisfaite de voir ma chose aussi heureuse de me voir et que je voulais qu’elle soit aussi contente à chaque fois qu’elle me voit (réapparaître).

Je lui ai ensuite dis qu’il pouvait se réveiller n’importe quand, qu’il pouvait même fermer les yeux encore un peu, le temps que j’aille prendre une douche pour le laisser sortir de transe tranquillement. J’ai pris une longue douche pour le laisser baigner dans la confusion mais aussi l’anticipation avant de revenir comme si rien n’étant en lui parlant de tout autre chose pour créer la séparation temporelle nécessaire à la bonne intégration d’une suggestion post-hypnotique. Quand je suis revenue près de lui et que je lui ai demandé comment il se sentait, qu’il m’a répondu qu’il se sentait très détendu, ma chose avait parfaitement réagit à mon retour. Mais ma chose et son (ancien) propriétaire ont dû partir peu de temps après. Mais ce n’était que la première partie.

La fois d’après, j’ai demandé à ma victime hypnotique de s’allonger de tout son long entièrement nu. Je lui ai remémoré la dernière fois qu’il s’est allongé pour faciliter son entrée en transe. Durant la séance, j’ai suggéré à son inconscient que chaque fois que chaque érection lui faisait penser à moi, qu’il lui était donc très difficile de me résister quand “ma chose” était en érection. Quand je l’ai invité la fois suivante pour me préparer à manger et passer le balais dans tous les recoins de l’appartement sans rien en retour, il a accepté (cette fois c’est moi qui était nue pour changer). La fois d’après, quand je lui ai proposé de nettoyer mes toilettes tout nu aussi. Puis ce fut ensuite au tour de ma douche d’être impeccablement nettoyée. Il a enfin dit non quand je lui dis de couper “ma chose” et de me la donner comme souvenir. La preuve qu’on ne peut pas faire faire n’importe quoi à un homme hypnotisé (et en érection).
Finalement, “ma chose” n’a jamais jouit en ma présence, mais son esprit, oui.