Cette fois-ci, je voulais juste trouver un esclave au service de MON plaisir sexuel, un homme qui viendrait chez moi (enfin, l’airbnb que j’ai loué), me lécherait la chatte et partirait. Tout simplement. Enfin, non pas vraiment. Ce n’était pas la seule chose que je voulais. 

Un candidat adorateur se démarquait. Nous nous sommes avoué nos perversité respectives mais aussi nos passions autour d’un café. Je lui ai aussi évidemment parlé de mon intérêt pour l’hypnose et il a été très intrigué. Il m’a sûr dit qu’il adorait manger des chattes et qu’il était très doué, pouvant s’y atteler pendant des heures et des heures, affirmation qui ne m’étais pas d’une très grande utilité. Heureusement pour lui, je n’allais pas le prendre au pied de la lettre, quoique ce fut extrêmement tentant de tester l’agilité et l’endurance de sa langue. Je voulais juste l’hypnotiser pendant qu’il insérait sa langue à l’intérieur de moi. Et c’est précisément ce que nous avons fait.

Parce que j’ai envie d’aller droit au but, voilà comment, j’ai procédé : 

Alors qu’il était à genoux et que je me trouvais sur le bord du lit, je lui ai ordonné de me regarder dans les yeux tout en décrivant la façon dont mes yeux déclenchaient une profonde relaxation et une profonde soumission en lui, ajoutant que mes yeux étaient si puissants qu’il se sentait de plus en plus faible au fur et à mesure qu’il était absorbé par mon regard chaud et accueillant – un peu comme ce qu’il se trouve entre mes jambes d’ailleurs. Car oui, j’étais excitée, impatiente, frétillante mais je savais qu’il me fallait prendre mon temps avec lui. 

Puis, j’ai enlevé ma culotte. Il fut tenté de regarder plus bas bien sûr mais je lui ai donné l’ordre de soutenir mon regard. Ainsi, il a plongé ses yeux dans les miens pendant un moment, tandis que je lui ordonnais de respirer profondément et de laisser tranquillement ma voix détendre son corps. Chaque muscle fut détendu à l’exception de sa queue qui se tendait un peu plus seconde après seconde. Chaque seconde semblait marteler sa queue qui pulsait de désir pour celle qui était en train de lui infliger la plus douce et relaxante des tourments. Enfin, je lui ai dit de regarder ma chatte de très près pendant que je me caressais  et de se concentrer sur le mouvement de mes doigts ainsi que sur mes gémissements dont l’ampleur sonore s’intensifiait peu à peu. Lorsqu’il s’approcha de ma chatte, il fut contraint de prendre de longues et profondes inspirations afin de laisser l’odeur de mon excitation infiltrer ses narines et le plaisir submerger son corps. 

Je lui ai ensuite suggéré que le liquide imprégnant ma chatte était comme une substance addictive alors qu’il était hypnotisé par celle-ci et que des décharges électriques d’excitation se logeait directement dans sa queue qui semblait maintenant sur le point d’exploser. Sa libération orgasmique n’était absolument pas ma priorité. Sa priorité était d’adorer ma chatte avec ses yeux, l’embrasser avec ses lèvres, la goûter avec sa langue, ce qu’il fut en se laissant tomber plus profondément en transe en même temps. Quel délice pour lui autant que moi. Le plaisir grandissait à l’intérieur de lui, l’envahissait tandis qu’il s’exécutait passionnément, ce qui rendait le simple fait de respirer assez compliqué. Son entrain me donnait l’impression qu’il voulait être avalé, disparaître à l’intérieur et dissoudre complètement dans mes gémissements de plaisir. Il avait cessé d’exister, son égo aspiré en même temps que ma cyprine. 

Sur le point de jouir, à la frontière, au bord du gouffre, ma main agrippant ses cheveux le prit par surprise.  Ill fut sommé de renifler, respirer, inhaler calmement l’efluve de mon entrejambe sans la toucher, la frôler alors que la suggestion que l’odeur déclenchait incontrôlablement son excitation se frayait un chemin dans son subconscient. Il a fait cela pendant un bon moment. Juste respirer, inspirer et expirer en fermant les yeux.  Il semblait être épuisé alors même que son corps était resté immobile tout le long.

Finalement, nous nous sommes arrêtés, je l’ai doucement sorti de transe en lui caressant tendrement son visage trempé. 

La fois d’après, ‘ai presque utilisé la même induction (j’ai agripé ses cheveux pendant qu’il plongeait ses yeux dans les miens cette fois) et les mêmes suggestions, mais j’ai ajouté que seule l’odeur de MA chatte était capable de le faire bander. Ensuite, je lui ai ordonné de se laisser tomber plus profondément en claquant des doigts tout en imaginant ma chatte dans sa tête. Il a finalement eu la permission de se branler tout en se concentrant sur cette image … quand il rentrerait chez lui.

Bref, il est reparti déçu, affamé et délicieusement frustré.

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